C'est un collègue de Villefranche qui m'a fait découvert ce rappeur, le plus grand fan au bas mot.
Un rappeur de St Louis que j'ai beaucoup écouté en cette fin d'année. L'écart entre son album "Tin Wooki", qui commence déjà à dater, et ce qu'il fait actuellement est assez impressionant : sa voix est plus profonde, sa production plus recherchée, mais son écriture toujours aussi fine et mystérieuse.
Tout son dernier album, tout en gros synthés profonds, est très beau. J'avais un peu du mal avec le côté "poésie déclamée" pendant un moment, mais le ton épique de l'album me le fait complètement oublier.
Honnêtement, je recommande tout son album "hugo", et en fait toute sa carrière. Le petit tremblement dans sa voix me touche à chaque fois.
Un groupe australien dont j'ai beaucoup écouté le premier album et qui n'avait rien sorti depuis presque 10 ans. On peut avoir du mal avec la voix de la chanteuse au début, mais elle fini par rester.
Énorme guitariste de jazz londonien, avec un jeu très rythmique, qui crée des espaces vaporeux que personne n'avait jamais exploré.
Un unique EP existe de ce rappeur, "Bleu Gospel", fait pour être écouté d'une traite. Je l'ai vu en concert à Vénissieux, il était tout gentil. Il est descendu dans le public pour parler de sa dépression, c'était trop beau, j'ai pleuré voilà.
Un album calme et étrange d'un producteur Sud-Africain. Les voix et samples me rendent toujours un peu mélancoliques, un peu comme avec un autre groupe : Space Afrika.
Des fois je pense que j'aime ce groupe juste pour les titres de leurs chansons. Leur nouvel album est très calme, avec piano et orchestre, j'adore la production.
Une découverte au hasard d'internet, du groove qui casse la tête.
Un rappeur de Londres qui détonne par son côté chaleureux là où ses compères sont plutôt "crachin et doudoune". Son dernier EP "None The Wiser" est aussi très cool.
Un clip IMPORTANT et NÉCESSAIRE - Telerama
Un groupe mythique de rap des années 90 que j'avais complètement raté jusqu'à cette année.
Un album de jazz londonien pétri d'afrobeat qui tue. Venez on va les voir.
Pete Rock, J. Dilla, Gang Starr, Black Star : tout plein de groupes de rap underground des années 90 que j'ai découvert grâce à mon coloc-slash-encyclopédie du rap Safa.
Je sais toujours pas sur quel ton prendre le côté "flingues gang cagoules flingues flingues" de leur esthétique, mais ce son m'a eu. À chaque fois que j'entend le passage "But I'm shi-ning baby girl WILD-ING" j'ai envie de casser un truc.
Le dernier album de la superstar nigériane, écouté en boucle sur la route cette été.
Ça a été mon année Prince, j'ai découvert sa musique et son personnage. Celle-ci par exemple, une histoire racontée avec beaucoup d'autodérision.
Un mariage improbable entre un producteur de techno de Detroit et le batteur de Fela Kuti, fondateur de l'afrobeat (REP).
Trio originaire des Alpes mais formé à Lyon. Le pianiste raconte en concert que cette chanson évoque un téléphérique qu'on peut prendre vers Chamonix, et les paysages qui défilent dessous. On les a vu en concert y'a pas longtemps avec Manon, et c'est louuuuurd
Ce pianiste canadien a sorti un album fin 2021, qui a fait le fond musical d'une bonne partie de mon année. J'adore la multiplicité des sons et des groove, tout se renouvelle à chaque seconde.
Version très épurée, qui fait magnifiquement ressortir la voix. Dans le même album, "Rising Son" est une des première chanson que j'ai essayé de jouer à la trompette.
Mon standard préféré de tous les temps, qui me fait penser à une BO de vieux film d'espion. Il y a un fond engagé à cette chanson, que je vous laisse découvrir.
À la fusion de la musique folk et kabyle, une énergie de fou.
J'ai menti c'est ça mon standard préféré.
Le premier album pleinement produit d'un groupe qui s'était surtout fait connaître avec des vidéos intimistes dans leur studio. Ils arrivent parfois à avoir un son de jeu de Gameboy bizarrement addictif.
Super chanson du guitariste guadeloupéen (REP).
Tiré de la BO de la saison 3 d'Atlanta, puits sans fond de découvertes musicales stylées.